Emprunte au Roland furieux, le sujet de La vie litteraire comporte deux faces : sur son avers, le desenchantement a l'oeuvre, comme l'un des ressorts narratifs du poeme de l'Arioste ; au revers, le livre transpose, non moins qu'il se plait a dissiper, ces charmes, ces illusions, ces belles prisons imaginaires qui retiennent Roger, amant et guerrier oublieux, loin des devoirs et des combats du reel.